Actualités > Le Département lance « Mon école, mon avenir »
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Soutenir les communes dans leurs projets scolaires
Le Département de l’Eure a fait de la jeunesse l’une de ses priorités en la plaçant au cœur des nouvelles politiques de soutien aux communes.
Car pour une petite commune, construire ou agrandir l’école représente souvent une part importante du budget. Pour accompagner les communes qui ont de nouveaux projets de construction, de réhabilitation ou d’extension d’écoles, les élus départementaux ont voté le 24 juin dernier, le lancement d’un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI).
Intitulé « Mon école, mon avenir », le dispositif concerne les projets scolaires du 1er degré : école, restauration scolaire ou garderie. Il faut néanmoins que le coût total des travaux soit supérieur à 200 K€.
Un double objectif
Ce programme d’intervention « Mon école, mon avenir » concerne l’enseignement, la restauration scolaire et les garderies périscolaires.
L’objectif est de faire émerger de nouveaux projets de construction, de réhabilitation ou d’extension d’écoles. Mais aussi d’accélérer les projets existants matures visant une réalisation en 2023.
Des structures durables
« Mais l’école n’est pas qu’un simple ensemble immobilier » rappelait lors de la session du 24 juin, le président Lecornu. « Aussi, les projets présentés devront apporter une réelle plus-value. Nous voulons mailler le territoire de structures scolaires et périscolaires durables. Ils doivent répondre pleinement aux objectifs en matière d’éducation, d’évolution de la démographie scolaire, d’aménagement du territoire. Ou encore de transition écologique et numérique. »
Les projets devront également sous l’angle du 100% inclusif au sein de l’établissement scolaire. Ils devront prendre en compte le personnel dédié (recrutements envisagés, intervenants extérieurs…)
« Le Département va poursuivre l’aide qu’il apporte en matière d’équipements scolaires du premier degré. Mais nous souhaitons être plus attentifs à la qualité globale des projets qui nous sont proposés » insistait Sébastien Lecornu.